René Guénon n'avait pas de disciple. Mais comme le dit le philosophe Persan Omar Khayyam : "Les vrais maîtres n'ont pas besoin de disciple !"
La société occidentale est malade. Rongée par l'ultra "libéralisme", la corruption des "élites", la paupérisation des peuples, la barbarie de l'intégrisme religieux. On cherche des coupables. On refait le coup du "Protocole des sages de Sion". L'islamophobie se développe sur Internet. En réalité, ceux qui attisent la haine appliquent le vieux précepte "diviser pour régner".
Un texte du bouddhisme tantrique, le Kalachakra tantra, "nomme explicitement les leaders des trois religions monothéistes (le judaïsme, le christianisme et l’islam) comme étant les adversaires du bouddhisme: "Adam, Hénoch, Abraham, Moïse, Jésus, celui en habit blanc (Mani), Mohamed et Mathani (le Mahdi)". Le tantra du Kalachakra les décrit comme "la famille des serpents démoniaques" (Shri-Kalachakra I. 154)." Source : Trimondi
Un texte du bouddhisme tantrique, le Kalachakra tantra, "nomme explicitement les leaders des trois religions monothéistes (le judaïsme, le christianisme et l’islam) comme étant les adversaires du bouddhisme: "Adam, Hénoch, Abraham, Moïse, Jésus, celui en habit blanc (Mani), Mohamed et Mathani (le Mahdi)". Le tantra du Kalachakra les décrit comme "la famille des serpents démoniaques" (Shri-Kalachakra I. 154)." Source : Trimondi
SOUFISME et DZOGCHEN
Le Dzogchen était un enseignement très ésotérique au Tibet. Seule une élite pouvait se targuer d’en connaître les arcannes et la méthode secrète (et lumineuse) de Thögal.
Des adeptes occidentaux du Dzogchen, gratifiés d’expériences visionnaires, seront peut-être étonnés de savoir qu’en Asie Centrale, une école du soufisme utilisait elle aussi une méthode de contrôle spirituel liée aux photismes colorés.
« Il semble que Najmoddîn Kobrâ soit le premier d’entre les maîtres du soufisme à avoir fixé son attention sur les phénomènes de couleurs, les photismes colorés, que le mystique peut percevoir au cours de ses états spirituels », écrit Henry CORBIN dans son livre « L’homme de lumière dans le soufisme iranien ».
« De son côté, Sohravardi lui-même, à la fin du livre capital où il s’attache à réinstaurer la « théosophie orientale », donne une description détaillée des expériences de lumières, des photisme, que peut connaître le mystique », précise H. COURBIN.
La métaphysique orientale selon René Guénon, quelques définitions.
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